Le genre de millepattes que nous délogeons en piquetant les murs, qui semblent avoir établi résidence dans les trous de la pierre. Celui-ci avait d'ailleurs l'air tout étourdi par la lumière.
Mathieu connaissant mon amour immodéré (et, certes, quelque peu irrationnel, d'autant que je n'ai jamais cru que les crapauds se transformaient en princes charmants) pour les batraciens, il est venu me porter cette trouvaille échappée aux dents du rateau. Y'a rien à faire, ce contact froid et lisse est inimitable !
Première sortie après l'hiver des génisses du voisin (producteur de lait bio), également venu nettoyer le pré en brûlant les ronces. Vue depuis la haie du jardin.
Exemplaire d'un individu de la colonie d'escargots de Bourgogne qui peuple le terrain; à notre grand désarroi, l'un deux s'est retrouvé dans le feu... Je me suis demandée pourquoi les coquilles d'escargots vides étaient toujours sales, tandis que celles des escargots vivants plutôt bien entretenues et suis arrivée à l'hypothèse, à laquelle Mathieu a adhéré, que les escargots vivants, en se déplaçant, dans des coins plutôt humides, se frottaient à de l'herbe mouillée ce qui nettoyait leur carcasse. Oui, c'est à peu près l'apogée de mon niveau de raisonnement du week-end (trop de burin pneumatique ?).
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